L'arrivée du pianiste Stephen Hough sur une scène de concert a toujours quelque
chose de remarquable. Il faut chercher le détail. Cette fois, le sobrissime
Britannique arbore une jubilante note verte, celle de mocassins couleur d'élytre
de scarabée. Mais la jubilation va s'arrêter là, tant le pianiste est à
côté des pompes brahmsiennes. Pouvait-on imaginer un Brahms aussi full metal ?
Joué en rafales de mitraillette dans le premier mouvement, le thème lyrique
ligoté sur le clavier comme Mazeppa sur son cheval.
Je ne suis pas certain de tout bien comprendre...
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