Trouvé sur le blog de Peio, un petit questionnaire auquel je vais tenter de répondre honnêtement (ou presque) :
1)Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18 et écrivez la quatrième ligne.
"Pourtant, il suffit d'écouter les gens du peuple, à leur travail ou chez eux", Richard Hoggart, La culture du pauvre, Editions de minuit
2)Sans vérifier, quelle heure est-il ?
hum hum... midi ?
3)Vérifiez
12h04. Après de questionnaire, je vais manger !
4)Que portez vous ?
Pull rouge et gris, tshirt blanc difforme en dessous, jean, baskets (en des chaussures genre groles de sport) jaunes.
5)Avant de répondre à ce questionnaire, que regardiez vous ?
Le blog de Peio...
6) Quel bruit entendez-vous à part celui de l’ordinateur ?
Les doigts de mon voisin de bureau sur son clavier. Ca me change de ses conversations en "mains libres" qui font que 1- je n'ignore rien des magouilles politicardes que PS à Aubervilliers 2- que cette nouille se voit déjà Maire-adjoint chargé de la politique de la ville 3- de ces multiples dragouilles extra-conjugales.
7) Quand êtes vous sorti la dernière fois ? Qu'avez-vous fait ?
Ce matin. J'ai traversé le Parc de la Bergère pour aller à l'Hôtel du Département. Allez-retour. Passionnant n'est-il pas ?
8)Avez-vous rêvé cette nuit ?
Oui, probablement, mais je ne m'en souviens pas.
9)Quand avez vous ri pour la dernière fois ?
Ce matin, en rapportant le contenu téléphonique du voisin de bureau à un collègue.
10)Qu’y a t-il sur les murs de la pièce ou vous êtes ?
Des affiches étitées par le Conseil général de la Seine-Saint-Denis (Concours de court-métrages "Refusez les discriminations", "Un institut de recherche pour le développement en Seine-Saint-Denis", "Prenez la parole, la Seine-Saint-Denis c'est vous !", "Coupe du monde de Rugby 2007, nous accueillons le monde", "Les jeunes prennent la parole : décollez l'étiquette avec l'appel des 93", "Et voilà le travail ! Les Bâtisseurs en Seine-Saint-Denis".
Une affiche de l'association contre les discrimination "Tous égaux, tous différents"
Une affiche éditées par Aides où l'on voit Marie-George Buffet avec comme légende "Voteriez-vous pour moi si j'étais séropositive ?" (Pour info, tout-e-s les candidat-e-s aux présidentielles sollicités on accepté, mais pas Sarkozy...)
11)Si vous devenez multimillionnaire dans la nuit, quelle est la première chose que vous achèteriez ?
Une maison à Noisy-le-sec.
12)Quel est le dernier film que vous ayez vu ?
Beau travail de Claire Denis
13)Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui ?
Non, enfin pas encore
14) Que pensez-vous de ce questionnaire ?
Pas grand chose, mais pas grand mal sinon je n'y répondrais pas.
15) Dites-nous quelque chose que nous ne savons pas encore ?
Et mon jardin secret alors ? Non mais !
16) Quel serait le prénom de votre enfant si c'était un garçon ?
Pour des raisons assez évidentes, je ne me suis jamais posé la question...
17) Si c'était une fille ?
Marie peut-être. J'aime beaucoup ce prénom.
18) Avez-vous déjà pensé vivre à l'étranger ?
Oui, au Canada.
19) Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez les portes du Paradis ?
Tu vois, t'avais tord.
20) Si vous pouviez changer quelque chose dans le monde en dehors de la culpabilité et de la politique, que changeriez-vous ?
Les questions à deux balles dans les questionnaires plutôt bien faits par ailleurs.
21) Aimez-vous danser ?
Non.
22) George Bush ?
Ni le père, ni le fils.
23) Quelles sont les 3 personnes qui doivent prendre le relais sur leur blog ?
Je n'ai quasi-aucune relations dans la blogosphère et fort peu de lecteurs. Les intéressé-e-s se reconnaîtront et bloggueront s'ils le veulent ou m'enverront la réponse par mail...
31.10.07
26.10.07
Arthur 2
C'est un trou de verdure, où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent; où le soleil, de la montagne fière,
Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert ou la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme:
Nature, berce-le chaudement: il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine.
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur RIMBAUD
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent; où le soleil, de la montagne fière,
Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert ou la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme:
Nature, berce-le chaudement: il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine.
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur RIMBAUD
Athrur 1 : LE BATEAU IVRE
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Arthur RIMBAUD
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Arthur RIMBAUD
16.10.07
Presse frondeuse ???
Suite à une succession (6) de * "je n'ai pas de commentaire à faire" de
M. Martinon - porte parole de la Présidence de la République - à propos d'une éventuelle séparation (voire divorce) de Nico et Cec' - Jean-Michel Aphathie, chroniqueur politique connu a considéré que les journalistes constituaient une "presse frondeuse"...
Ramenez-nous Thierry la Fronde !!!!!! Lisez, écoutez et, à la rigueur, regardez les niouzes !
Quitte à fronder, autant le faire sur de vrai sujets (ADN, loi sur l'immigration, loi sur les retraites, (non)remplacement des fonctionnaires, politique de la culture, ...).
Les histoires d'amour finissent mal (en général)... disaient les Rita.
Je me tamponne complètement de savoir si N & S sont toujours ensemble, de savoir s'ils vont divorcer ou que sais-je. Par contre, j'aimerais savoir : pourquoi le bouclier fiscal ? Pourquoi la remise en cause de tant et tant d'acquis du Conseil national de la résistance ?
M. Martinon (dont je n'envie pas la place), ne commente pas.
Il ferait mieux de classer l'affaire en deux temps et trois mouvements. Au moins, les choses seraient claires.
Et la presse de s'intéresser à ce qui se passe pour de vrai. Pour les vrais gens, dans la vraie vie.
Rendez-vous le 18, journée d'action. Je le rappelle à toutes fins utiles.
M. Martinon - porte parole de la Présidence de la République - à propos d'une éventuelle séparation (voire divorce) de Nico et Cec' - Jean-Michel Aphathie, chroniqueur politique connu a considéré que les journalistes constituaient une "presse frondeuse"...
FRONDEUSE ???
Ramenez-nous Thierry la Fronde !!!!!! Lisez, écoutez et, à la rigueur, regardez les niouzes !
Quitte à fronder, autant le faire sur de vrai sujets (ADN, loi sur l'immigration, loi sur les retraites, (non)remplacement des fonctionnaires, politique de la culture, ...).
Les histoires d'amour finissent mal (en général)... disaient les Rita.
Je me tamponne complètement de savoir si N & S sont toujours ensemble, de savoir s'ils vont divorcer ou que sais-je. Par contre, j'aimerais savoir : pourquoi le bouclier fiscal ? Pourquoi la remise en cause de tant et tant d'acquis du Conseil national de la résistance ?
M. Martinon (dont je n'envie pas la place), ne commente pas.
Il ferait mieux de classer l'affaire en deux temps et trois mouvements. Au moins, les choses seraient claires.
Et la presse de s'intéresser à ce qui se passe pour de vrai. Pour les vrais gens, dans la vraie vie.
Rendez-vous le 18, journée d'action. Je le rappelle à toutes fins utiles.
13.10.07
Inter-programme
Réveil nocturne... Envie d'en griller une... NOooooooon...
Allumage de télé ? Bon, soit...
Bon, quand même il y a eu un générique de fin. Qui a confirmé mon avis sur l'identité d'icelui qui jouait (Roger Muraro) du Tchaïkovsky comme du Messiaen.
Nuitamment, on regarde vraiment n'import'nawak... sans parler de ce qu'on peut écrire...
Allumage de télé ? Bon, soit...
- Sur la une, un truc genre Chasse et pèche (en pire, signe qu'à cette heure, le samedi il FAUT dormir).
- Sur la deux une clone d'Evelyne Dahlia présente la météo d'hier... je suis RAVI de savoir le temps qu'il a fait !
- Sur la trois... un pianiste qui joue du classique... effectivement, c'est l'heure pour la télé... alors, histoire de savoir ce que je regarde et écoute (chasse et autres péchés j'ai le sentiment d'avoir assez d'info rien qu'à l'image)... Mon doigt sur la zapette, je vais sur le télétexte :
INTERPROGRAMME
Bon, quand même il y a eu un générique de fin. Qui a confirmé mon avis sur l'identité d'icelui qui jouait (Roger Muraro) du Tchaïkovsky comme du Messiaen.
Nuitamment, on regarde vraiment n'import'nawak... sans parler de ce qu'on peut écrire...
12.10.07
Faire chier les voisins
Ai mis dans le lecteur CD le seul enregistrement que j'ai de la Symphonie dite du Nouveau Monde de Atonin Dvorav. (Pour les caractères especiales en este blog no hay).
Bref, un des tous premiers CDs acheté à l'époque... J'étais jeune et con (au moins un peu). Depuis, l'une des deux caractéristiques ci-avant citées a changée... à vous de choisir.
Bref, quand on était jeune, sans (beaucoup) de sous, sans (beaucoup) de culture (musicale et le reste j'en parle même pas), on se réfugie vers des valeurs sures et peu onéreuses.
C'est comme cela qu'a atterri chez moi la sus-dite symphonie et l'Inachevée de Schubert. Berlin, Herbie von K., super rapport qualité prix pour moi à l'époque.
Ecouté de temps à autres.
De nouveau ce soir.
Les 2 sont d'un lisse à peine descriptible. Ah, ça pour être du beau son d'orchestre, c'en est. Et ensuite ?
Pour Dvorak, j'ai pas d'autres (a)versions. Mais, bordel laaaaaaaachez vous !!!! Oublie ton son génial et sais faire du moche quand ça peut le faire. Un brin de rubato aussi siouplé... Bref, c'est CALIBRE.
Schubert, pareil. Sonorité somptueuse, j'avoue. Mais, merde ! J'ai dans ce qu'il me reste de neurones un enregistrement de Carlos K. . Vienne. Mais, ça n'a RIEN à voir. Déjà, CK arrive à ne pas les faire jouer en pilote automatique, j'ai eu de vraies (agréables) surprises à la première écoute. Ensuite, CJ - lui - dirige avec gout ces passages incroyables où Schubert passe du majeur au mineur. Avec HvK c'est : "Je passe la 4e", avec CK mes poils se dressent... doit y'avoir un truc...
Au passage, j'adore Schubert. C'est un compositeur maneur ou mijeur ?
Bref, un des tous premiers CDs acheté à l'époque... J'étais jeune et con (au moins un peu). Depuis, l'une des deux caractéristiques ci-avant citées a changée... à vous de choisir.
Bref, quand on était jeune, sans (beaucoup) de sous, sans (beaucoup) de culture (musicale et le reste j'en parle même pas), on se réfugie vers des valeurs sures et peu onéreuses.
C'est comme cela qu'a atterri chez moi la sus-dite symphonie et l'Inachevée de Schubert. Berlin, Herbie von K., super rapport qualité prix pour moi à l'époque.
Ecouté de temps à autres.
De nouveau ce soir.
Les 2 sont d'un lisse à peine descriptible. Ah, ça pour être du beau son d'orchestre, c'en est. Et ensuite ?
Pour Dvorak, j'ai pas d'autres (a)versions. Mais, bordel laaaaaaaachez vous !!!! Oublie ton son génial et sais faire du moche quand ça peut le faire. Un brin de rubato aussi siouplé... Bref, c'est CALIBRE.
Schubert, pareil. Sonorité somptueuse, j'avoue. Mais, merde ! J'ai dans ce qu'il me reste de neurones un enregistrement de Carlos K. . Vienne. Mais, ça n'a RIEN à voir. Déjà, CK arrive à ne pas les faire jouer en pilote automatique, j'ai eu de vraies (agréables) surprises à la première écoute. Ensuite, CJ - lui - dirige avec gout ces passages incroyables où Schubert passe du majeur au mineur. Avec HvK c'est : "Je passe la 4e", avec CK mes poils se dressent... doit y'avoir un truc...
Au passage, j'adore Schubert. C'est un compositeur maneur ou mijeur ?
40 fois
40 fois répété la même chose à un(e) directeur/trice de cabinet d'un(e) Maire.
C'est long et fastidieux. Faut déjà arriver à l'avoir au bout du fil.
40 fois tu faxera le projet de courrier dont on veut savoir si le(la) Maire en question souhaite en être co-signataire.
Dans cette tâche chiante (on peut le dire), un vrai moment de bonheur.
Le courrier en question est franchement orienté à gauche. Et qui me donne sa réponse le plus rapidement ? Une ville de droite. Fort bien et là, surprise... Ils signent ! Je me demande s'ils ont bien tout lu...
C'est long et fastidieux. Faut déjà arriver à l'avoir au bout du fil.
40 fois tu faxera le projet de courrier dont on veut savoir si le(la) Maire en question souhaite en être co-signataire.
Dans cette tâche chiante (on peut le dire), un vrai moment de bonheur.
Le courrier en question est franchement orienté à gauche. Et qui me donne sa réponse le plus rapidement ? Une ville de droite. Fort bien et là, surprise... Ils signent ! Je me demande s'ils ont bien tout lu...
11.10.07
Get a life...
J. A rencontré ... quelques hommes.
J. A Toujours voulu être célibataire.
J. Est indépendante.
J. A un ego...
... comme le mien ?
Toujours est-il que J. est amoureuse de G.
Les deux se sont chamaillé pour une question stupide, la jalousie...
J. est presque aussi jalouse que G.
J. a peur d'être dominée par G. ... mon cul sur la comode avant de voir ça !
J. est c... paske laisse passer super love story (potentielle), que J. fait semblant de n'en n'avoir que faire...
Et pourtant, si les histoires d'amour finissent mal (en général), il arrive -heureusement- que ce soit le contraire.
C'est tout ce que je leur souhaite.
J. A Toujours voulu être célibataire.
J. Est indépendante.
J. A un ego...
... comme le mien ?
Toujours est-il que J. est amoureuse de G.
Les deux se sont chamaillé pour une question stupide, la jalousie...
J. est presque aussi jalouse que G.
J. a peur d'être dominée par G. ... mon cul sur la comode avant de voir ça !
J. est c... paske laisse passer super love story (potentielle), que J. fait semblant de n'en n'avoir que faire...
Et pourtant, si les histoires d'amour finissent mal (en général), il arrive -heureusement- que ce soit le contraire.
C'est tout ce que je leur souhaite.
Marie-Aude Roux
Elle a encore frappé. A propos d'un récital de Juan Diego Flores et en particulier de son pianiste :
Un flingue ? Rien que ça ! Il avait intérêt à faire gaffe aux fausses notes le père Flores...
"Accompagné par l'étonnant pianiste Vincenzo Scalera (des doigts, un faciès et peut-être un flingue sous la partition)"
Un flingue ? Rien que ça ! Il avait intérêt à faire gaffe aux fausses notes le père Flores...
Chiche ?
« Chaque fois que quelqu’un est humilié, est persécuté, est opprimé, il devient automatiquement français »
Nicolas SARKOZY, le 4 octobre 2007 à Sofia.
No comment.
9.10.07
Le masque tombe ?
On ne peut pas dire que j'ai particulièrement d'affection pour BHL qui est, à mes yeux à Descartes ce qu'André Rieu est à David Oistrak...
Mais quand même, je trouve révélatrice la réaction d'Henri Guaino aux propos, fort peu élogieux à son égard, que BHL a tenu ce matin sur France Inter où il le traitait de raciste.
Interrogé par le site d'info Rue89, Henri Guaino a déclaré :
Il me semble que lorsqu'on occupe la fonction de conseiller spécial de notre Président-bien-aimé, qu'on est sa plume officielle, on peut faire preuve d'un peu plus de retenue. Au moins lorsqu'on est interrogé par des journalistes...
L'article en entier ici.
Mais quand même, je trouve révélatrice la réaction d'Henri Guaino aux propos, fort peu élogieux à son égard, que BHL a tenu ce matin sur France Inter où il le traitait de raciste.
Interrogé par le site d'info Rue89, Henri Guaino a déclaré :
"Ce petit con prétentieux ne m'intéresse pas. Qui est-il donc? Qu'a-t-il fait dans sa vie de si extraordinaire pour se permettre de juger comme ça? Je n'ai jamais rencontré BHL. Il ne m'aime pas, moi non plus. Il n'aime pas la France, moi si. Il a la bave aux lèvres, avec la haine qui suinte de partout."
Il me semble que lorsqu'on occupe la fonction de conseiller spécial de notre Président-bien-aimé, qu'on est sa plume officielle, on peut faire preuve d'un peu plus de retenue. Au moins lorsqu'on est interrogé par des journalistes...
L'article en entier ici.
4.10.07
L'enfer est pavé de bonnes intentions
Foutage de gueule. Je ne vois que ça.
L'office HLM du Havre (municipalité UMP - je le rappelle à toutes fins utiles) vient de prendre une initiative à laquelle nul n'avait pensé avant.
Partant du constat que les djeunes des cités - téci en langage djeun - aimaient squatter les halls d'immeubles (surtout lorsqu'il pleut, lorsqu'il fait un peu froid. En cas de météo plus clémente, ils préfèrent tenir les murs de la téci - traduction cf. supra).
Ce constat est indéniable, évidemment, et les djeunes en question - entre deux agressions de petites vieilles, un deal et demi et quelques chichons (fr. : joint, contient du cannabis) - ces djeunes (ainsi que tous les autres assistés genre chômeurs, èrémistes, allocataires divers...) n'ont AUCUNE autre ambition. Nada, que dalle, makach' sinon glander à longueur de journée, de nuit aux frais des bons contribuables.
Mais, c'est que y'a un hic ma brave dame, mon bon m'sieur... c'est que lorsqu'ils squattent les halls d'immeuble, ils cassent les boites aux lettres et perturbent la quiétude des bon-ne-s citoyen-ne-s qui se couchent tôt pour se lever tôt pour travailler plus pour gagner plus.
Et là ! Aaaaaaaaaaaah ! Idée géniaaaaaale ! Si, au cœur de la cité on leur construisait un hall d'immeuble rien que pour eux ? Ben c'est fait.
Un container a été recyclé à cet effet. (Déjà, le fait que ce soit un container en dit beaucoup si on fait du Freud à 2 balles).
Bref, on prend un container, on refait l'extérieur, on met un pseudo-digicode pour y entrer afin de faire plus vrai, et dedans ont met des fausses boites aux lettres, une fausse porte d'ascenseur et rien d'autre.
Cependant, un local associatif attenant est fermé depuis 3 ans.
J'imagine que les djeunes, leurs parents, les Havrais sont flattés de l'attention, de la considération, de l'estime qui leur sont témoignées.
Ou du mépris ?
L'office HLM du Havre (municipalité UMP - je le rappelle à toutes fins utiles) vient de prendre une initiative à laquelle nul n'avait pensé avant.
Partant du constat que les djeunes des cités - téci en langage djeun - aimaient squatter les halls d'immeubles (surtout lorsqu'il pleut, lorsqu'il fait un peu froid. En cas de météo plus clémente, ils préfèrent tenir les murs de la téci - traduction cf. supra).
Ce constat est indéniable, évidemment, et les djeunes en question - entre deux agressions de petites vieilles, un deal et demi et quelques chichons (fr. : joint, contient du cannabis) - ces djeunes (ainsi que tous les autres assistés genre chômeurs, èrémistes, allocataires divers...) n'ont AUCUNE autre ambition. Nada, que dalle, makach' sinon glander à longueur de journée, de nuit aux frais des bons contribuables.
Mais, c'est que y'a un hic ma brave dame, mon bon m'sieur... c'est que lorsqu'ils squattent les halls d'immeuble, ils cassent les boites aux lettres et perturbent la quiétude des bon-ne-s citoyen-ne-s qui se couchent tôt pour se lever tôt pour travailler plus pour gagner plus.
Et là ! Aaaaaaaaaaaah ! Idée géniaaaaaale ! Si, au cœur de la cité on leur construisait un hall d'immeuble rien que pour eux ? Ben c'est fait.
Un container a été recyclé à cet effet. (Déjà, le fait que ce soit un container en dit beaucoup si on fait du Freud à 2 balles).
Bref, on prend un container, on refait l'extérieur, on met un pseudo-digicode pour y entrer afin de faire plus vrai, et dedans ont met des fausses boites aux lettres, une fausse porte d'ascenseur et rien d'autre.
Cependant, un local associatif attenant est fermé depuis 3 ans.
J'imagine que les djeunes, leurs parents, les Havrais sont flattés de l'attention, de la considération, de l'estime qui leur sont témoignées.
Ou du mépris ?
3.10.07
BRAVO !
Bravo Renaud ! (A gauche sur la photo, ma pomme à droite - pour une fois).
Je suis super content pour lui (pour toi si tu lis mes âneries).
Il vient d'être admis à la classe de clarinette du Conservatoire national de région de Paris. Une place pour... beaucoup de candidats.
Comme disait l'autre, "aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années".
On fête ça ce WE ! Et encore bravo 'ti gars !
Je suis super content pour lui (pour toi si tu lis mes âneries).
Il vient d'être admis à la classe de clarinette du Conservatoire national de région de Paris. Une place pour... beaucoup de candidats.
Comme disait l'autre, "aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années".
On fête ça ce WE ! Et encore bravo 'ti gars !
2.10.07
Souvenirs...
Pour faire suite à une commentaire sur le blog du Prof. K., comme promis je détaille.
Point 1 : Œuvre sublime. Effectivement, et je ne redirai pas ce que le prof' a dit mieux que je ne pourrait le faire sinon insister sur le fameux accord.
Point 2 : Le premier son émis par W. White dans la Damnation de Faust restera toujours gravé dans ma mémoire. Timbre sublime. Un piano qui irradiait Pleyel. Remarquable. Frissons. Son interprétation a été remarquable de bout en bout. Par charité (tout court), je ne dirai rien sur le chef. Ceux qui veulent trouver trouveront des critiques sur le ternet en tapant quelques mots clef compris dans le texte ci-dessus.
Point 3 : Autant je peux confirmer que Mlle Norman est la diva absolue (pure limousine de la mort qui tue et qui peine à faire le virage de la rue qui mène à l'entrée des artistes du Châtelet, une suite -de gens- impressionnante, un coin en coulisses avec rideaux sur les côtés ET en haut, sorte de burka géante mais volontaire). Bref, malgré les ans et un peu d'érosion ce fut incroyable. Je remercierais presque mon ancien employeur de m'avoir lourdé ce qui m'a permis d'assister à toutes les répétitions.
Point 4 : Je ne ré-écoute pas Ariane mais le sublime enregistrement des Lieder de R. Strauss que la Norman a gravé avec K.Masur. Heureusement que les micros étaient là. Immense. Dans les Quatre derniers, Im Abendrot est d'une lenteur insoutenable. Pari gagné. Et sa voix est d'une ductilité que je n'aurais pas soupsonné car, je l'avoue, je l'avais catégorisée "grosse" voix. Que les a priori peuvent être surfaits parfois...
Point 1 : Œuvre sublime. Effectivement, et je ne redirai pas ce que le prof' a dit mieux que je ne pourrait le faire sinon insister sur le fameux accord.
Point 2 : Le premier son émis par W. White dans la Damnation de Faust restera toujours gravé dans ma mémoire. Timbre sublime. Un piano qui irradiait Pleyel. Remarquable. Frissons. Son interprétation a été remarquable de bout en bout. Par charité (tout court), je ne dirai rien sur le chef. Ceux qui veulent trouver trouveront des critiques sur le ternet en tapant quelques mots clef compris dans le texte ci-dessus.
Point 3 : Autant je peux confirmer que Mlle Norman est la diva absolue (pure limousine de la mort qui tue et qui peine à faire le virage de la rue qui mène à l'entrée des artistes du Châtelet, une suite -de gens- impressionnante, un coin en coulisses avec rideaux sur les côtés ET en haut, sorte de burka géante mais volontaire). Bref, malgré les ans et un peu d'érosion ce fut incroyable. Je remercierais presque mon ancien employeur de m'avoir lourdé ce qui m'a permis d'assister à toutes les répétitions.
Point 4 : Je ne ré-écoute pas Ariane mais le sublime enregistrement des Lieder de R. Strauss que la Norman a gravé avec K.Masur. Heureusement que les micros étaient là. Immense. Dans les Quatre derniers, Im Abendrot est d'une lenteur insoutenable. Pari gagné. Et sa voix est d'une ductilité que je n'aurais pas soupsonné car, je l'avoue, je l'avais catégorisée "grosse" voix. Que les a priori peuvent être surfaits parfois...
1.10.07
Retour difficile de Suisse
Pas évident de quitter les paysages et leurs vaches (Milka ou non).
- Faut être vraiment CON pour ouvrir son courrier un lundi matin à 0h30 et quelques.
- Appeler un VRAI ami, au loin (à une heure qui devient décente vu le décalage horaire) et apprendre de TRES mauvaises nouvelles et apprendre de TRES mauvaises nouvelles ; pas agréable mais les amis ne sont pas faits que pour ça... (Un GROS BATS TOI, un GROS BISOU à K., un GROS encouragement à mon homonyme Y. I. ou J.)
- Le récit du WE suivra...
- Faut être vraiment CON pour ouvrir son courrier un lundi matin à 0h30 et quelques.
- Appeler un VRAI ami, au loin (à une heure qui devient décente vu le décalage horaire) et apprendre de TRES mauvaises nouvelles et apprendre de TRES mauvaises nouvelles ; pas agréable mais les amis ne sont pas faits que pour ça... (Un GROS BATS TOI, un GROS BISOU à K., un GROS encouragement à mon homonyme Y. I. ou J.)
- Le récit du WE suivra...
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