16.10.07

Presse frondeuse ???

Suite à une succession (6) de * "je n'ai pas de commentaire à faire" de
M. Martinon - porte parole de la Présidence de la République - à propos d'une éventuelle séparation (voire divorce) de Nico et Cec' - Jean-Michel Aphathie, chroniqueur politique connu a considéré que les journalistes constituaient une "presse frondeuse"...

FRONDEUSE ???

Ramenez-nous Thierry la Fronde !!!!!! Lisez, écoutez et, à la rigueur, regardez les niouzes !

Quitte à fronder, autant le faire sur de vrai sujets (ADN, loi sur l'immigration, loi sur les retraites, (non)remplacement des fonctionnaires, politique de la culture, ...).

Les histoires d'amour finissent mal (en général)... disaient les Rita.

Je me tamponne complètement de savoir si N & S sont toujours ensemble, de savoir s'ils vont divorcer ou que sais-je. Par contre, j'aimerais savoir : pourquoi le bouclier fiscal ? Pourquoi la remise en cause de tant et tant d'acquis du Conseil national de la résistance ?

M. Martinon (dont je n'envie pas la place), ne commente pas.

Il ferait mieux de classer l'affaire en deux temps et trois mouvements. Au moins, les choses seraient claires.

Et la presse de s'intéresser à ce qui se passe pour de vrai. Pour les vrais gens, dans la vraie vie.

Rendez-vous le 18, journée d'action. Je le rappelle à toutes fins utiles.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Le 18 octobre sera plutôt pour moi une journée d'inaction... Vu le trajet que je fais, je n'ai pas d'autre solution que de prendre une journée de RTT. Laquelle journée aurait sans doute été plus agréable à prendre pendant les congés scolaires, par exemple... Mais il paraît qu'on ne fait pas une omelette sans casser des oeufs : le jour de la distribution des rôles, il ne me semble pas avoir postulé au rôle de l'oeuf.

Anonyme a dit…

Rien à voir avec c'que tu dis, mais à ta question torride sur mon blog
"Et Cécilia dans tout çà",
je réponds qu'il n'y a
"Pakel ! Pakel !"
et l'objurgue kossument :
"Cecilia, Ô notre Lady Di à nous ! Ne passe pas sous le pont de l’Alma, Ô Lady Cé. Ni sous le Pont de Cé, Ô Poulencette"